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On se dit qu’il va falloir vivre avec. Vivre avec une menace aussi multiforme que mortelle. Des victimes, des morts, des femmes, des enfants, des hommes, des civils, des militaires, des policiers, des prêtres, des religieux… La répétitivité des attaques nous use, nous choque, nous pousse à la colère, à la haine et à l’hystérie. On assiste au délitement de la classe politique où, ici et là, on appelle à autant de mesures liberticides, « exceptionnelles » et évidemment sans impact mesurable. La France est la cible majeure d’une campagne de grande ampleur de la mouvance jihadiste et en premier lieu celle incarnée par l’État islamique (EI). On se dit qu’il va falloir vivre avec. Vivre avec une menace aussi multiforme que mortelle. L’émotion, la colère nous envahissent. Le sentiment d’impuissance…
On se dit qu’il va falloir vivre avec. Vivre avec une menace aussi multiforme que mortelle. Des victimes, des morts, des femmes, des enfants, des hommes, des civils, des militaires, des policiers, des prêtres, des religieux… La répétitivité des attaques nous use, nous choque, nous pousse à la colère, à la haine et à l’hystérie. On assiste au délitement de la classe politique où, ici et là, on appelle à autant de mesures liberticides, « exceptionnelles » et évidemment sans impact mesurable. La France est la cible majeure d’une campagne de grande ampleur de la mouvance jihadiste et en premier lieu celle incarnée par l’État islamique (EI). On se dit qu’il va falloir vivre avec. Vivre avec une menace aussi multiforme que mortelle. L’émotion, la colère nous envahissent. Le sentiment d’impuissance…
Circulez, il y a tout à voir… En juillet, à Kigali (Rwanda), l’Union africaine officialise le projet de doter, d’ici à 2020, les citoyens du continent d’un passeport unique. Ce document permettrait ainsi de voyager d’un pays à un autre sans visa. Un beau et noble projet qui risque cependant de se heurter à quelques principes de réalité Damien Glez est un dessinateur de presse franco-burkinabè. Il est aussi directeur de publication délégué de l’hebdomadaire satirique Le Journal du Jeudi. Il est membre actif de l’association Cartooning for Peace fondée par Plantu. Ses dessins et caricatures ont été publiés dans plus de quarante journaux internationaux.…
Circulez, il y a tout à voir… En juillet, à Kigali (Rwanda), l’Union africaine officialise le projet de doter, d’ici à 2020, les citoyens du continent d’un passeport unique. Ce document permettrait ainsi de voyager d’un pays à un autre sans visa. Un beau et noble projet qui risque cependant de se heurter à quelques principes de réalité Damien Glez est un dessinateur de presse franco-burkinabè. Il est aussi directeur de publication délégué de l’hebdomadaire satirique Le Journal du Jeudi. Il est membre actif de l’association Cartooning for Peace fondée par Plantu. Ses dessins et caricatures ont été publiés dans plus de quarante journaux internationaux.…
« À CHAQUE SCANDALE AU SEIN DE L’ÉGLISE, MON PÈRE CHANGEAIT DE RELIGION... J’AI ÉTÉ BAPTISÉ SEPT FOIS ! » Baskets fluo aux pieds, collier plastron sud-africain autour du cou, vernis bleu ciel au bout des doigts… Au premier contact, Blick Bassy détonne. Mais l’homme n’est pas exhibitionniste. Plutôt un anticonformiste en quête d’une liberté, qui souhaite paradoxalement s’affranchir du regard des autres. On l’interroge. Sa voix est posée, ses gestes réfléchis. On évoque son parcours, le blues qu’il vénère, sa naissance à Yaoundé, son arrivée en France… Et, surtout, cet étrange et passionnant premier roman, écrit entre deux tournées, où le musicien livre une part inédite de sa personnalité AM : Vous êtes musicien camerounais. Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire votre premier roman, Le Moabi Cinéma ? Blick Bassy…
« À CHAQUE SCANDALE AU SEIN DE L’ÉGLISE, MON PÈRE CHANGEAIT DE RELIGION... J’AI ÉTÉ BAPTISÉ SEPT FOIS ! » Baskets fluo aux pieds, collier plastron sud-africain autour du cou, vernis bleu ciel au bout des doigts… Au premier contact, Blick Bassy détonne. Mais l’homme n’est pas exhibitionniste. Plutôt un anticonformiste en quête d’une liberté, qui souhaite paradoxalement s’affranchir du regard des autres. On l’interroge. Sa voix est posée, ses gestes réfléchis. On évoque son parcours, le blues qu’il vénère, sa naissance à Yaoundé, son arrivée en France… Et, surtout, cet étrange et passionnant premier roman, écrit entre deux tournées, où le musicien livre une part inédite de sa personnalité AM : Vous êtes musicien camerounais. Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire votre premier roman, Le Moabi Cinéma ? Blick Bassy…