Marie Claire - France Mars 2017

Helena Christensen/ZZO, photographiée par Philip Gay. Réalisation Sébastien Cambos. Chemise et jupe en coton, et ceinture Balenciaga, soutien-gorge en tulle Eres. Chaîne en or rose Dodo. Assistantes Alexandra Conti et Julie Cristobal. Casting Emilie Le Goff. Coiffure Owen Gould/The Wall Group. Manucure Nori/Artlist New York, avec Dior Vernis. Maquillage Morgane Martini/The Wall Group. Nos remerciements à Jetset Voyages/Equinoxiales. Nadja Auermann/Viva Paris, photographiée par Van Mossevelde+N. Réalisation Anne-Sophie Thomas. Robe en soie mélangée Andreas Kronthaler for Vivienne Westwood, T-shirt en coton Dries Van Noten. Assistante Axelle Cornaille. Casting Emilie Le Goff. Coiffure Olivier de Vriendt pour Mod’s Hair, avec Spider de Mod’s Hair et le Spray Sirocco de Mod’s Hair. Maquillage Sandrine Cano-Bock/Open Talent Paris. Set design Sylvain Cabouat/Walter Schupfer Management. Tatjana Patitz/Viva Paris, photographiée par Van Mossevelde+N. Réalisation Anne-Sophie Thomas.…

4 × 80 Face à la cafèt’, à Marie Claire, une photo que l’on ne voit plus tant elle nous est familière: Tatjana Patitz, en chemise blanche Agnès B., sur le capot d’une voiture dans le désert Mojave, en Californie, par Peter Lindbergh. Cette image fait partie d’une série parue dans le Marie Claire n° 419, au mois de juillet 1987 . Cette image a trente ans. Son évidence, ses créoles, le vent et le soleil de l’Ouest. Nous avons voulu retrouver Tatjana et ses yeux limpides en couverture, mais aussi Nadja Auermann et Helena Christensen, la force des tops. Les trois couvertures de notre spécial mode 2017 sont volontairement des femmes qui portent leur histoire. Et la nôtre. 1989 Sur la place Rouge, une classique famille de quatre. La…

Van Mossevelde+N Photographes C’est à ce couple italo-belge que l’on doit les couvertures et séries de mode consacrées à Nadja Auermann et Tatjana Patitz. D’où venez-vous ? Bruno: de Belgique mais j’ai vécu la plus grande partie de ma vie en Italie. Nicoletta: de Rome. Mais Bruno et moi vivons désormais à Paris avec notre petit garçon. Ce qui vous a le plus marqués pendant ce shooting… La rencontre avec de telles icônes, c’est la réalisation de vieux rêves. Votre plus grande émotion professionnelle ? A chaque séance, lorsqu’un modèle livre soudain une partie de son âme. Un mot pour vous définir ? Faim ! Philip Gay Photographe Il a dit « yes » tout de suite. Le photographe américain Philip Gay a shooté, à New York, Helena Christensen, la…

De : Marie Date : 3 octobre 2016 A : cdurand@gmc.tm.fr Objet : Le dictateur et les orphelins philippins Votre reportage «Où est papa?» (MC n° 774, février 2017) m’a touchée. Les témoignages de ces orphelins et de ces femmes des bidonvilles de Manille sont poignants. Comme celui de Justine, qui a découvert le corps inanimé de son mari dans la cuisine. Méritait-il d’être assassiné simplement parce qu’il se droguait? Comment le président Rodrigo Duterte peut-il continuer à provoquer et légitimer ces tueries? Avec 1,3 million de consommateurs de drogues, j’ai bien peur que le massacre ne soit pas près de se terminer. De : Sophie, ex-Laurent Date : 31 décembre 2016 A : cdurand@gmc.tm.fr Objet : Devenir une femme grâce à vous Depuis un an j’ai compris ce qu’inconsciemment…

Lescop Musicien “Discrétion: attitude de quelqu’un qui veille à ne pas gêner les autres, à ne pas s’imposer, retenue, réserve, tact. Attitude de quelqu’un qui sait garder un secret. Pourtant, la discrétion n’est pas invisible: elle se fait remarquer, sinon personne ne la voit. Etre discret, c’est maîtriser l’art d’être vu sans trop se faire remarquer, l’art de savoir garder un secret tout en étant assez voyant pour devenir celui à qui on va dire ce secret. Il faut savoir se faire remarquer en tant que personne discrète. Savoir trouver une personne discrète, c’est également tout un art… Il faut être discret soi-même, car demander : « Etes-vous quelqu’un de discret ? » ça ne se fait pas. C’est très indiscret comme question. Echo (Mercury), en tournée en France, le…

«Il était 4 heures du matin quand j’ai reçu l’appel», se souvient Catarina Carvalhaes Muñoz, 55 ans. Le regard vide, elle repose doucement sa tasse de thé, dans son salon aux volets tirés en plein jour. « Mon fils me suppliait de venir au commissariat, quelque chose était arrivé à Suhene, ma fille de 26 ans.» Dans la salle d’attente, Catarina a retrouvé sa fille, grelottante, le visage en sang. «La veille, Damian, son fiancé, était devenu fou de rage parce que Suhene voulait venir chez moi pour réviser ses examens. Il lui a crié: “Tu restes à la maison”, il l’a frappée à la tête puis étranglée. Imaginez, ma petite fille, qui mesure 1,54 m. Elle ne pouvait pas se défendre, elle a essayé de le mordre. Elle s’est…