01net No.972s

Les temps sont durs, la vie est chère. L’expression n’est pas nouvelle. Le romancier Gaston Leroux la prêtait déjà à l’un de ses personnages en 1926, dans Les Mohicans de Babel. Donc, un peu avant la grande dépression des années 1930 qui, pour le coup, allait plonger le monde dans une crise économique et financière sans précédent. C’est dire si le pouvoir d’achat est une préoccupation constante des Français, quelle que soit l’époque. Mais, ces derniers mois, les conséquences de la pandémie puis de la guerre en Ukraine l’ont de nouveau rendu plus prégnante. « Je fais attention à tout, je chasse les promotions, on est au centime près », confiait récemment une mère de famille au Courrier picard, à la sortie d’un hypermarché à Amiens. « Regardez, j’en ai…

Les temps sont durs, la vie est chère. L’expression n’est pas nouvelle. Le romancier Gaston Leroux la prêtait déjà à l’un de ses personnages en 1926, dans Les Mohicans de Babel. Donc, un peu avant la grande dépression des années 1930 qui, pour le coup, allait plonger le monde dans une crise économique et financière sans précédent. C’est dire si le pouvoir d’achat est une préoccupation constante des Français, quelle que soit l’époque. Mais, ces derniers mois, les conséquences de la pandémie puis de la guerre en Ukraine l’ont de nouveau rendu plus prégnante. « Je fais attention à tout, je chasse les promotions, on est au centime près », confiait récemment une mère de famille au Courrier picard, à la sortie d’un hypermarché à Amiens. « Regardez, j’en ai…

Boursorama abuse Je voulais vous signaler un gros point noir concernant Boursorama. Je suis frontalier et pour rapatrier mon salaire suisse, cette banque me demande à chaque fois vingt euros. Actuellement, je n’envoie que tous les deux mois mon salaire, mais cela reste une somme coquette annuellement. J’ai tenté de négocier avec eux mais rien à faire. Donc je trouve que l’appréciation de leurs tarifs dans le comparatif du hors-série (n° 127, p. 18) est trop généreuse! Bravo par ailleurs pour votre revue. Yves Jemey 01NET Comme vous le soulignez, il s’agit d’un comparatif. Et donc, comparée aux autres banques, nous pouvons affirmer que Boursorama est globalement moins chère. Évidemment, en se focalisant sur votre cas particulier, peut-être ne serions-nous pas arrivés au même résultat. Je garde mon numéro! Je souhaite rebondir sur l’article «…

Boursorama abuse Je voulais vous signaler un gros point noir concernant Boursorama. Je suis frontalier et pour rapatrier mon salaire suisse, cette banque me demande à chaque fois vingt euros. Actuellement, je n’envoie que tous les deux mois mon salaire, mais cela reste une somme coquette annuellement. J’ai tenté de négocier avec eux mais rien à faire. Donc je trouve que l’appréciation de leurs tarifs dans le comparatif du hors-série (n° 127, p. 18) est trop généreuse! Bravo par ailleurs pour votre revue. Yves Jemey 01NET Comme vous le soulignez, il s’agit d’un comparatif. Et donc, comparée aux autres banques, nous pouvons affirmer que Boursorama est globalement moins chère. Évidemment, en se focalisant sur votre cas particulier, peut-être ne serions-nous pas arrivés au même résultat. Je garde mon numéro! Je…

Là où on ne l’attendait pas. Après neuf ans d’absence en salles, Jean-Pierre Jeunet est de retour, mais en streaming, sur Netflix. Avec BigBug, le réalisateur et scénariste inspiré de Delicatessen et du Fabuleux destin d’Amélie Poulain nous offre une farce rétrofuturiste sur un sujet qui nous est cher, l’intelligence artificielle. L’occasion rêvée pour un entretien. 01NET Avec BigBug, vous nous avez offert un nouveau long métrage, mais neuf ans après le précédent. Qu’avez-vous fait entretemps JEAN-PIERRE JEUNET Je n’ai pas rien fait! (rire) Entretemps, j’ai écrit un scénario sur le sexe, qui était un peu L’Homme qui aimait les femmes de Truffaut, mais à la sauce d’aujourd’hui. Sauf que, maintenant, on ne peut plus parler de ce sujet tranquillement. C’est devenu très brûlant. Donc, je me suis fait rétamer,…

Là où on ne l’attendait pas. Après neuf ans d’absence en salles, Jean-Pierre Jeunet est de retour, mais en streaming, sur Netflix. Avec BigBug, le réalisateur et scénariste inspiré de Delicatessen et du Fabuleux destin d’Amélie Poulain nous offre une farce rétrofuturiste sur un sujet qui nous est cher, l’intelligence artificielle. L’occasion rêvée pour un entretien. 01NET Avec BigBug, vous nous avez offert un nouveau long métrage, mais neuf ans après le précédent. Qu’avez-vous fait entretemps JEAN-PIERRE JEUNET Je n’ai pas rien fait! (rire) Entretemps, j’ai écrit un scénario sur le sexe, qui était un peu L’Homme qui aimait les femmes de Truffaut, mais à la sauce d’aujourd’hui. Sauf que, maintenant, on ne peut plus parler de ce sujet tranquillement. C’est devenu très brûlant. Donc, je me suis fait rétamer, sachant qu’un…