Zen et bien dans ma vie No. 21

1 - Le plus rapide des avions à hélice est français ! Made in Tarbes, le TBM 930 du constructeur Daher-Socata, concurrence bien des biréacteurs. Capot moteur interminable, hélice à cinq pales , il est taillé pour la vitesse. Il se pilote facilement : tel Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon, 90 % des propriétaires de TBM sont des entrepreneurs qui pilotent eux-mêmes leur monomoteur moins complexe à piloter qu’un petit jet. Il décolle et atterrit plus court que ses concurrents à réacteurs, en moins de 750 mètres, ce qui rend accessibles les petits aéroports et les terrains privés. Croise à 610 km/h, presque aussi rapide qu’un biréacteur comme le Cessna Mustang grâce à l’entraînement de l’hélice assuré par une turbine de 850 ch. Autre avantage de la turbine : les…

1 . Une maladie qu’il faut combattre ! Certains d’entre vous n’ont jamais entendu parler de la BPCO. La BPCO ? C’est un acronyme qui veut dire Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive. Pourtant, cette maladie touche en France 3,5 millions de personnes et en tue 17 500 chaque année. Pourtant, une association a déjà été créée en 2003 et une journée mondiale a lieu chaque année en novembre depuis 2002. Ce nouveau fléau touche principalement les femmes, les baby-boomers évidemment, comme le miroir déformant d’une certaine idée de la liberté et de l’émancipation, comme la Cassandre de ce plaisir qu’elles ont pris sans peur et sans reproche : celui de fumer. Car la principale cause de la BPCO, c’est le tabac. Mais la BPCO est une maladie silencieuse qui évolue lentement et s’installe…

C’est en tout cas le pari d’Ananas Anam, une entreprise fondée par l’Espagnole Carmen Hijosa, qui a créé le Piñatex, une matière textile d’origine végétale pouvant remplacer le cuir animal. Cette spécialiste du design et de la fabrication d’objets en cuir a vu sa carrière la mener à travers le monde avant de connaître, aux Philippines, ce textile révolutionnaire dont les fibres, trouvées dans les feuilles d’ananas, sont liées ensemble sans besoin d’être tissées ou tricotées. Son développement a abouti à la création du Piñatex qui est d’autant plus durable qu’il résulte de la simple récole des ananas et complète même le revenu des leurs producteurs. Cette dernière a pourtant œuvré pendant de longues années dans l’industrie du cuir conventionnel, celle qui abat chaque année des milliards d’animaux pour (littéralement) leur…

La démesure, le bar où tout est possible Ce haut lieu de la parisienne branchée a le gros avantage de toujours garder ses portes ouvertes aux clients. Dès que vous entrez dans ce bar cosy, vous êtes entièrement livrés aux nombreuses opportunités que vous procure l’endroit : brunch, dîner raffiné, fast and junk food, cocktails parfumées et sucrées, piano bar, musique techno...bref, du petit déj jusqu’au dernier pas de danse à 4h du mat’, La démesure est le lieu du divertissement par excellence. 43, rue du Faubourg-Montmartre – 75009 Paris Le Tricycle : comme une envie de bouffe végétarienne A n’en pas douter, il s’agit du spot parisien pour les végés engagés et épicuriens ! Imaginez de délicieux hotdogs sans viande ni conservateur. Imaginez ces délicieux mets revisités grâce à de grosses saucisses végi…

Au pays du vin, du cognac et de l’armagnac, le whisky demeure bel et bien l’alcool fort favori. Chaque années, le grand commerce dénombre 200 millions de bouteilles vendues à travers le pays. Cela représente 40 % du nombre des achats de spiritueux. Apprécié, méconnu, élégant, sectaire... les qualificatifs ne manquent pas lorsqu’il s’agit d’évoquer le whisky. Si la vérité se situe à mi-chemin entre tous ces adjectifs, il convient d’apporter un peu plus de précisions. Pour faire simple, et se rapprocher des prolos (eh oui, notre magazine se veut volontairement populaire), le whisky est une eau de vie de céréales qui est vieillie (au minimum) durant trois longues années. Lorsqu’on tente d’aborder le sujet avec des amateurs, un terme revient souvent sur le devant. Il s’agit de Single Malt. Quelle…

J’AI L’IMPRESSION QUE LES SEULES FOIS OÙ TU N’ES PAS NERVEUSE, C’EST QUAND TU ES SUR SCÈNE. Vraiment ? Oh mon Dieu ! [Rires.] C’était terrifiant pour moi parce que j’ai chanté en français. [Halsey avait effectué une reprise de Coeur de Pirate, ndlr.] Je ne savais pas si mon accent était correct ou non. Mais c’était fun ! Et Béatrice [le véritable prénom de Coeur de Pirate, ndlr] m’a contactée après le concert. Ça m’a fait vraiment plaisir parce que j’écoute sa musique depuis que je suis gosse alors que j’apprenais le français au lycée. C’était très spécial. Je n’aurais jamais fait ça si je n’étais pas sur scène, parce que c’est vraiment là où je me sens pousser des ailes. Dans la vie de tous les jours, je suis…