Loco-Revue: un bon stimulant
Je discutais lautre jour avec un vieil ami modéliste qui me disait : “Jai commencé un réseau et puis, je ne sais pas ce qui me prend, je narrive plus à m’y mettre”. Il se peut en effet, quau gré des aléas de la vie, de diverses sollicitations extérieures, le désir de pratiquer s’émousse. Je suis convaincu que lorsqu’on y a goûté une fois, il ne disparaît jamais complètement. En ce qui me concerne, en cas de panne d’inspiration, jai mes recettes: feuilleter des livres d’images du chemin de fer dautrefois, me replonger dans les vieux Loco-Revue pour redécouvrir les reportages sur les divers réseaux, aller dans latelier, où il est bien rare qu’un petit travail resté en suspens ne me tende pas les bras… Le plaisir du travail manuel,…