Faire court…
IL NE RESTE PLUS QUE huit catégories. Au lieu de treize. Certains avanceront que ce n’est pas plus mal au vu de la longueur désespérante que peut parfois prendre la cérémonie des Victoires de la musique. Surtout lorsqu’on se rappelle encore celle de l’an dernier, interminable, avec un sens du spectacle proche d’un documentaire sur les moules de bouchot filmé au ralenti. Il n’aura échappé à personne que les fans de rock sont exclus de fait de ces trophées, entérinant de fait la soupe radiophonique diffusée 24 heures sur 24 sur les ondes. Les classements des ventes de l’année 2019 sont à ce titre emblématiques, et donc à l’image de ces Victoires. Que de la variété française/francophone, plus ou moins déguisée en urbain proposant des textes pour instagrameurs acharnés, sur fond…