Art & Décoration

@soubirannathalie Augmentation du coût de transport des marchandises, pénurie et surcoût des matières premières, crise des prix de l’énergie….. Le secteur de la décoration n’échappe pas aux tensions inflationnistes. Face à ces augmentations, les marques cherchent des stratégies pour limiter au maximum les impacts, notamment en relocalisant l’achat des matières premières en France et en Europe, en limitant les stocks, en réduisant le nombre de points de vente. Mais l’inflation est bel et bien là! Et elle amoindrit notre pouvoir d’achat, nous obligeant à faire des arbitrages. Comment continuer à se faire plaisir et à embellir sa maison? Plutôt que d’éviter nos magasins de déco préférés, on peut déployer des stratégies gagnantes. Envie de changer de chaises? Achetez-les une par une, chaque mois. Envie d’un nouvel objet déco? Lancez-vous dans le…

COLLAB Jean-Charles de Castelbajac, passe à table Tout droit sortie de l’imaginaire de Jean-Charles de Castelbajac, la collection L’Archipel Sentimental décline les figures qui lui sont chères, colombe, main, cœur, soleil, lune… sur des assiettes, des plats, des mugs, des vide-poches, des sets de table, une nappe, un serviteur muet et même une table basse! On redécouvre avec joie, ainsi repimpé, le merveilleux savoir-faire de la manufacture de Gien. À partir de 45 € le mug ou la paire de sets de table. gien.com COUP DE ♥ Pour cette lampe aux proportions monumentales (presque 1 mètre). On adore sa base en céramique, surmontée d’un abat-jour inversé en lin. « Toshiro », 1 188 €, Kira. ON EN PARLE PANGEA De la galerie éphémère Goodmoods à l’installation « Magic House » de The Conran Shop, les deux créatrices…

Carreaux et bois naturel, un ménage british ultra-chic. Arabesques et bois foncé filent le parfait amour. Laque et lignes graphiques, un couple tonique et seventies. Rayures et bois clair, pour le meilleur et pour le style. Pierre et notes végétales, une alliance naturelle. Pois et métal noir, un mariage contemporain. Peaux de bêtes et rotin, un tandem sauvage. TOUS LES PRIX SONT DONNÉS À TITRE INDICATIF. CARNET D’ADRESSES PAGE 180 © Patrick Lévêque – Francis Amiand – Martin Chum – Studio Collet – Presse…

Sur ses céramiques, toutes des pièces uniques, Anne Jochum transforme le grès en délicat jardin. L’artiste s’est formée à la terre dans un petit atelier, après des études de design à l’École Duperré, des expériences de designeuse textile et des collaborations avec différents bureaux de style dans l’univers de la maison. Inspirée par la botanique avant tout, et par le peintre Pierre Soulages pour les tonalités, elle expérimente, imagine et développe l’art du décor positionné sur la terre brute, utilisée comme un papier. Elle applique ses pochoirs sur un grès aux teintes naturelles déclinées des noirs aux gris, avec quelques audaces comme des rouges denses rehaussés de motifs de grenades et de kakis. Alternant engobes mats et satinés, Anne crée ainsi des effets de lumière sur ses céramiques sombres. En…

Ils ne connaissent pas de frontières ou presque. De l’Indonésie à l’Italie, du pays du Soleil-Levant au Moyen-Orient, des côtes bretonnes aux rives méditerranéennes en passant par le bassin d’Arcachon, les pins, et particulièrement les pins parasols, évoquent dans nos imaginaires communs un certain esprit de l’ailleurs, enchanteur et gracieux. Les artistes ne s’y sont pas trompés qui, des peintres flamands à Paul Signac, ont su les représenter dans leur protectrice majesté. Depuis quelques années, ils reviennent en force parmi les motifs les plus prisés pour illustrer une décoration intérieure. En fresques murales classiques d’abord, dans des versions désormais plus contemporaines, on les retrouve partout. Pour mieux annoncer chez nous la venue des beaux jours? TOUS LES PRIX SONT DONNÉS À TITRE INDICATIF. CARNET D’ADRESSES PAGE 180 © Cyrille Robin – Romain…

C’est le goût à la française que Bertrand Talabardon et Bertrand Gautier défendent dans leur galerie du Faubourg-Saint-Honoré, une élégance, un éclectisme et surtout un regard sur des œuvres qui racontent des histoires. On y trouve aussi bien du portrait que du paysage ou des thèmes de la vie religieuse ou familiale, dignes des plus grands musées, mais des œuvres également moins connues, néanmoins nanties de la même charge émotionnelle. « Pourquoi cette vente? Pour repenser notre mode de travail et de fonctionnement, explique Bertrand Gautier, et continuer ainsi à réunir des ensembles qui dialoguent entre eux, quelle que soit leur discipline. » Estimée à cinq millions d’euros, la vente propose 150 toiles du XIXe siècle signées Courbet, Ingres, Chassériau, des œuvres plus anciennes comme la sublime Leçon de broderie…